Concours

Mardi 13 novembre 2 13 /11 /Nov 02:52

 

 Sur des supputations de concièrges, avec tout le respect au métier qui n'existe plus, certains si ce n'est "le" résponsable du site "histoiresdecheznous2" on décidé que les écrit d'un certain "incestueux" étaient "pompée" disnt-ils, à partir de ce blog. Erreurde se précipiter, ainsi, pour jetter une des plumes de leur site. insestueux est bien l'auteur de ses écrits sur le site incriminé.

nous aimons histoiresdecheznous2 mais il ne pourra jamais progressé avec de si petits résponsables. on pensait que leur esprit les guidait pour se réaliser. finalement, seuls leurs attribues sont aux commandes.

incestueux est bien l'auteur de "ma mère ne dormait pas"

 

sachez que malgré tout, vous avez-là un blog ami.

incestueux

Par MAX - Publié dans : homelovefamily
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 15:31

Je me nomme Annie, ce soir je fête mes 19 ans chez ma mère. Mon frère Serge, 23 ans, genre sportif, est là seul. Il a laissé sa copine il y a déjà près de 2 mois. Il vit depuis chez ma mère, Louise, veuve depuis 3 ans. Mon copain, Manuel, avec qui je vis depuis 3 mois est présent aussi. J’ignorais alors que l’un de mes cadeaux allait modifier ma vie.

Depuis que j’avais 16 ans, peut-être 15 ans, je désirais avoir des piercings aux seins et au clitoris. Ma mère s’y était opposée. « Ce n’est qu’une mode » me disait-elle. « De plus, tu n’est pas encore majeure » ajoutait-elle. Lors de mes 18 ans, j’étais déçue de ne pas recevoir ce cadeau de ma mère. A Noël, ma frustration fut vive et ma mère le sut. Elle m’avait alors suggéré de me les payer de ma poche. Mais je venais d’emménager avec Manuel et mes sous étaient tous comptés.

Ce soir là, je reçu une magnifique chainette en or et un pendentif de Manuel. De ma mère et de mon frère, ce fut ces magnifiques boucles qui orneront bientôt mon corps et un certificat-cadeau pour le perçage et la pose de ceux-ci. Ma joie était au comble d’autant plus que les boucles étaient celles que j’avais montrées à mon frère un peu après Noël. C’étaient dans les plus dispendieuses et je comprenais pourquoi ils s’étaient unis pour le cadeau. Manuel fut surprit et cela le mit mal à l’aise. La fête terminée, j’allais savoir le pourquoi. « Je ne peux croire que tu puisses accepter un tel cadeau de ton frère, un cadeau à connotation sexuelle. » me dit-il aussitôt arrivé chez nous. « C’est d’abord le cadeau de ma mère. Elles sont très dispendieuses. Je n’en voulais pas de moindre qualité. Je comprends que ma mère ait demandé à Serge de s’unir à elle pour me les offrir. Il y a rien de sexuel.». « Une fois posées, ils vont te demander de leur montrer » ajouta-t-il. « Tu es malade, c’est mal les connaître, ils m’ont donné ce que je désirais. Tu as vraiment un problème. » Et sur ces propos, j’allai me coucher. 3 jours plus tard, je pus enfin me faire poser mes nouvelles merveilles. Malgré la douleur, celles qui disent qu’elles n’ont pratiquement rien senti sont des menteuses ou je suis une super sensible, j’avais hâte de les montrer à Manuel, ces merveilleuses boucles bien en place. Ma joie fut de courte durée, Manuel m’accusa presque de coucher avec mon frère. Ce soir là, il dormit sur le canapé. Les semaines passèrent et la querelle au sujet de ces boucles était devenue omniprésente.

Cependant, cette querelle avait fait naître chez moi des pensées troublantes face à mon frère. Mon frère désire-t-il que je lui montre son cadeau sur moi? Aurait-il une érection, si je lui montre mes piercings? Est-ce que mon frère fantasme sur moi? Quelle grosseur est son pénis? Désire-t-il en secret me faire l’amour? Comment baise-t-il? Me trouve-t-il jolie? Sensuelle? Pense-t-il que je suis une salope? Se masturbe-t-il en pensant à moi? Lentement ces pensées se changèrent en fantasmes, fantasmes que je devais assouvir en me masturbant. Des désirs secrets étaient nés en moi. Me mettre nue devant lui, me laisser caresser mon corps, faire l’amour et même avoir un enfant.

Cela faisait déjà presque 3 mois depuis ma fête. Je n’étais pas retournée voir ma mère et mon frère afin d’atténuer les doutes de Manuel. La querelle s’était finalement estompée. Cependant dans 8 jours, c’est l’anniversaire de Serge et bien sûr ma mère le fête chez elle et nous sommes invités. Manuel réagit mal, très mal. Mes petits bijoux que seul lui avait vus sur moi sauf celle qui me les avait posés refaisaient surface. « C’est ça, tu vas pouvoir te mettre à poil devant ton frère. Et pourquoi pas une bonne baise en guise de remerciement » me lança-t-il. Cette fois, c’était la fin. Je pris mes valises, les remplit, appela un taxi et avant de le quitter définitivement je lui dis : « Il n’y a rien entre mon frère et moi. J’ai cru un moment que tu l’avais compris. Tu es jaloux que mon frère et ma mère sachent que je porte des piercings. Tu aurais voulu que ce soit toi qui me les offre et que ça demeure secret. Tu as vraiment besoin d’une thérapie. Tu insultes depuis des mois ma famille et moi. Je te quitte, c’est terminé entre nous. ».

Heureusement, j’ai toujours ma chambre chez ma mère. Après avoir expliqué à ma mère les raisons de notre rupture, je ne voulais pas que mon frère le sache, j’allai me reposer dans ma chambre. J’ignore si c’est le fait de me retrouver près de mon frère, mes désirs interdits face à lui que j’avais réussi à oublier dans la dernière semaine refirent surface. Je me surprenais à imaginer quand et comment je me montrerais nue. J’imaginais des scénarios aussi fantaisistes les uns, les autres. Pour moi, si je me montrais nue, cela finirait inévitablement en faisant l’amour. Je ne cherchais même plus à faire taire mes désirs incestueux mais à les réaliser. Honteuse de mes désirs, je maudis Manuel de les avoir fait naître. Il me semble que lorsqu’on rompt avec quelqu’un, il y a une tristesse qui s’installe, un regret des bons moments, on doit sentir un manque de l’être viré. Rien, je ne suis pas triste, je ne regrette rien, il ne me manque pas. Tout ce qu’il y a, un profond désir de devenir la femme de mon frère. J’ai le goût de le sentir caresser, embrasser la moindre parcelle de mon corps, sentir la chaleur du sien sur le mien. Je finis finalement par m’endormir. Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’essayai de ne pas trop fixé mon frère. A chacune des fois que mon regard se posa sur lui, je sentais mes seins et ma chatte réagir. Heureusement, j’avais une journée chargée au collège. De plus, je travaillais le soir. Cela m’a permis de passer une journée agréable. Mais dès que j’arrivai le soir, en particulier dans ma chambre, mes désirs revenaient toujours plus forts. Ce fut une semaine difficile, mais le samedi, anniversaire de mon frère, ma décision était prise. Je me donnerai à mon frère. Après avoir fait l’amour, je serai libérée de ces désirs et pourrai reprendre une vie normale. Quand et comment, surtout avec ma mère présente, je ne le savais pas, mais ce serait dans les jours qui viennent, la première occasion sera la bonne. C’est du moins ce que je pensais.

Le repas du soir fut particulièrement arrosé. Ma mère offrit une caméra numérique comme cadeau. Avec son ordi, il pourra les développer lui-même. Moi, je savais ce que je désirais lui donner, c’est-à-dire mon corps, mais je ne pouvais le faire devant ma mère. Aussi faute d’argent, il reçu un baiser de ma part en m’excusant, les derniers événements ayant vidé ma tirelire. Puis, ma mère nous invita à danser au sous-sol. Nous étions une famille de danseurs. Pendant plus de 2 heures, nous dansions passant d’un cha-cha-cha à un rock, d’une valse à un tango et même quelques slows. Puis ma mère s’excusa, elle était fatiguée et monta se coucher.

C’était l’occasion, je le savais mais comment faire. Mon frère et moi continuons de danser. Je dois dire, que j’ai du prendre 3 ou 4 Bloody Mary bien alcoolisés, j’ai toujours eu de la difficulté à doser quand je les prépare, ayant toujours peur qu’il ne soit pas suffisamment alcoolisé. Prenant mon courage à deux mains, je dis à mon frère : « Tu sais, je porte les beaux bijoux que tu m’as donnés. ». J’espérais une réaction de mon frère. « Habituellement, ce genre de bijou se porte toujours. J’aurais été surpris que tu ne les portes pas » me répondit-il. Ce n’était pas vraiment la réaction souhaitée. J’enchainai : « Tu devrais voir comme ils me font bien ». « Je n’en doute pas, tu est très jolie. Mais si tu désires que je voie ces 3 petites merveilles sur toi, il faut que tu sois nue » ajouta-t-il d’un regard coquin. Je sus alors que j’allais me mettre nue. Je sentis l’excitation dans mon corps, excitation accentuée par la présence de mes petits bijoux. Mais je voulais faire l’amour, il me fallait m’en assurer, sinon quelle frustration pour moi. Je repris la parole : « Me mettre nue, hum, c’est un peu injuste, tu vas voir mes seins, ma chatte et moi qu’aurais-je? Par contre si tu me montre ton pénis en érection ce serait équitable, tu ne penses pas? ». Surpris de ma réponse, Serge répliqua : « Ok pour du nudisme, mais pour l’érection, il faudra que tu m’excites, petite sœur, et une fois excitée, euuuh … il peut se passer bien des choses ». A sa réponse, je sentis la pointe de mes seins se durcir comme jamais, des spasmes à l’intérieur de mon vagin. J’avais presqu’un orgasme. « S’il se passe des choses, petit frère, je suis capable d’assumée. J’enlève un morceau et toi le suivant. Je commence ».

A peine ai-je enlevé mon chemisier, je vis dans ses yeux, le désir de me caresser, de me baiser. Ca y était. Nous étions à poil. Je m’approchai de lui, il contempla mes seins, il se pencha pour regarder le piercing de mon clito. Il se releva, ma main glissa vers son membre, lui toucha à peine, qu’il se mit au garde à vous. Je le branlai alors doucement, je me penchai, j’approchai l’objet de mon désir de mes lèvres, sortant ma langue, je lui léchai son gland, le mit dans ma bouche, et en bougeant ma tête pour simuler un va et vient le fit éjaculer. En avalant, je me relevai en serrant Serge dans mes bras, écrasant ma poitrine sur son torse. Il me caressa les épaules de ses lèvres en me reculant vers le divan. Il commença alors avec sa bouche et ses mains une inspection minutieuse de mon corps, mes seins ayant droit à une attention particulière puis après avoir fait le tour de mes jambes se dirigea vers ma chatte. Je ne trouve pas les mots pour décrire le frisson du plaisir que j’éprouvai alors, il alla me déguster enfin. Sa langue sur mon clito eut suffit mais mon petit bijou accroché là accentuait les sensations, je mouillai donc comme un champlure avec des gémissements de plus en plus forts. Descendant de temps en temps sa langue sur mes lèvres pour savourer le liquide que je sécrétais pour lui. Enfin il prit sa verge, écarta mes lèvres avec ses doigts, y plaça le gland et d’un lent coup de rein introduisit son pénis. Je le sentis glisser lentement, s’accaparant peu à peu de tout l’intérieur de mon vagin. Il était enfin à l’intérieur de moi, je devenais sa femme, n’était-ce pas l’échange de son doigt dans mon anneau. Des va et vient débutèrent lentement. Je me mis à gémir doucement à chacun d’eux. Puis accélérant le rythme, mes gémissements augmentèrent leur niveau sonore. Les va et vient furent de plus en plus rapides, des spasmes vaginales apparurent, ils furent de plus en plus intenables, je criai, oui, j’ai bien eu un orgasme, mais lui continua, je le vis dans son visage, il y était presque, oui, ça y était. Un liquide chaud venait tout juste d’arriver à l’intérieur de moi. Nous nous sourîmes et pendant que nous nous embrassions une voix retentit : « Cela fait 5 minutes que je vous observe, vous seriez bien mieux dans un lit pour vous aimer. C’est bien plus confortable ». Cette voix, c’était celle de notre mère. Surpris et gênés, nous la regardâmes remonter les escaliers. Serge et moi, attendirent quelques minutes, prirent nos vêtements et gagnèrent ma chambre où nous continuèrent nos ébats et nous endormîmes entrelacés.

Le lendemain matin, quand je me réveillai, mon frère dormait nu à côté de moi. Je n’avais donc pas rêvé, ni fantasmé. Je réveillai mon frère avec de gentils baisers. Puis après moult hésitations, nous sortîmes de ma chambre pour prendre le petit déjeuner. Ma mère était déjà là. Quel sermon aurons-nous? Nous venions de traverser l’interdit. Quand elle nous vit, elle nous sourit et dit : « Vous avez passé une belle nuit les tourtereaux? ». Je fus complètement ébahie, mon frère l’était également à l’expression de son visage. Ma mère ne semblait nullement troubler que sa fille et son fils aient fait l’amour ensemble. Ne sachant quoi répondre je lui répondis finalement : « Oui, mais toi, tu n’es pas fâchée de nous avoir vu ainsi? ». J’avais besoin de comprendre. Après un moment de réflexion ma mère reprit : « Écoutez bien tous les deux, ceci doit demeurer secret. Quand j’étais adolescente, ma mère, passait son temps à me prévenir de faire attention à mes frères. Ils essaieraient de me voir nue, pire ils me feraient peut-être des avances. Les gars me disait-elle, c’est comme ça, surtout à leur âge, ils ne font pas de différences entre une sœur et une voisine. Ils fantasment sur le corps de la femme et leur sœur est à leur portée. A l’époque, je n’éprouvais aucun désir sexuel sur mes frères et j’étais très prude. Mais la répétition quotidienne de ses conseils a fait naître chez moi des désirs. Me montrer nue, satisfaire le voyeurisme de mes frères. J’ai passé finalement à l’action. Je laissais souvent ma porte de chambre entrouverte en étant nue, tout en surveillant discrètement si un de mes frères se prévalait de cette chance. Je voyais souvent Jean-Paul m’observai discrètement. Ca me donnait des plaisirs à chaque fois. Puis le désir de me donner à lui est venu. Une nuit de Noël, pendant que tout le monde s’amusait, je me suis donnée à lui. Nous l’avons fait pendant plus d’un an presque chaque semaine. Ce n’était pas de l’amour, mais la réalisation de nos fantasmes. Quand tu m’as parlé de ta rupture, j’avais compris que Manuel avec ses paroles répétées avaient créé sans le vouloir des fantasmes sur ton frère. Ton frère lui, je l’ai surpris nombre de fois essayant de t’observer pendant que tu prenais ton bain. Hier, quand je suis redescendue, à tes gémissements, j’avais compris que c’était fait. Je vous préviens tous les deux. Ce n’est pas de l’amour, ce n’est que la réalisation de fantasmes. Désormais, vous serez pris toute votre vie à ce désir charnel interdit et vous devrez l’assouvir de temps en temps comme Jean-Paul et moi, une fois tous les 3 ou 4 mois. Profitez maintenant du temps où vous avez besoin de le faire souvent, mais dans 6 mois, un an ou un peu plus, le véritable amour vous manquera».

Serge et moi n’arrivâmes pas à le croire, ma mère l’avait déjà vécu et le vivait encore. Ma mère eut raison sur toute la ligne. Après 8 mois de baise infernale, un manque se fit sentir de plus en plus. J’avais besoin d’un amoureux et lui d’une amoureuse. Depuis nous sommes mariés tous les deux avec des conjoints charmants. Cependant à chaque 3 ou 4 mois, Serge et moi, nous nous retrouvons pour satisfaire ce désir charnel incontrôlable, le plus souvent chez ma mère qui sourit à toutes les fois.

Par MAX - Publié dans : homelovefamily
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 15:29

Désolé Cher Maxime pour le retard dans ma réponse, voici la suite de mon histoire avec ma tante. J'attends de tes nouvelles avec ta mère

Je te rassure que finalement avec ma tante nous avons franchi le pas. A 21 ans j'ai fait l'amour avec elle. Elle aimait mon endurance, j'étais très jeune, elle avait 35 ans ses amants étaient tous plus agés qu'elle. Comme tu le sais nous sommes Arabes et beacoup pouraient penser que nous n'avons même pas de sexualité alors que le vice réside chez nous. Nous sommes les rois de l'inceste et doutes les atrocités possible, biensur, entre adulte consentants.
C'était un soir elle était avec l'un de ses amants, c'est un haut fonctionnaire agé de 52 ans. Arrivé vers 22h00, il est entré au salon avec ma tante. Après le service, il s'est approché d'elle et ont commencé a flirté. Je les ai laissés vers 22h45 et suis rentrée dans la chambre. Vers 23h10 ma tante est venue enlevée sa culotte. J'avais envie d'elle, je lui ai dit

- Il me semble que ton amant actuel ne te satisfait pas beaucoup, même si sa poche est pleine et sa main généreuse

- Effectivement mon neveu, mais tu sais il est jaloux et possessif. Il sera fâché s'il apprend qu'un autre me fréquente.

- Approches toi de moi je veux toucher ta chatte. Touchant sa chatte elle était mouillée. Je lui dit d'aller rejoindre son amant et qu'à son départ on en reparlera.

Vers minuit son amant est parti. Je suis venu la joindre au salon. Elle était encore allongé. Je me suis mis à côté d'elle et j'ai commencé à la caresser. Il nous arrivait de se toucher, je la rasais des fois. Le sperme de son amant était répendu sur ses cuisses.

Il était comment? Je te propose un second rounds.

-Mais tu sais qu'on ne peut pas. En disant sa phrase j'ai dirigé sa main vers ma bite. Elle la la prise dans sa main et entamé une branlette. J'ai commencé à sucer sa chatte et ses seins. Elle a laché ma bite pour me laisser explorer son Corp.. J'ai senti un invitation. Elle était sur le côté et ses mise sur le dos ouvrant ses cuisses. Elle respirait fort. j'ai enlevé le dernier vêtement que je portais et suis venu dans son vagin. Elle mouillait. J'ai entamé des vas et viens, elle me suivait. Elle me demande de continuer d'aller plus loin.

- vas y mon neveu fais de moi ta copine. je suis ta copine, ta femme. Continues trompes encore plus ton oncle. Ces phrases me mettait le feu. Je la limait comme un fou.

En voulant sortir avant l'éjaculation, elle me bolque me disant je veux ton sperme dans mon ventre. Je suis à toi, tu es mon homme. Je me suis laché dans son vagin et nous nous sommes embrassés fort. Le lendemain, j'étais gêné d'avoir forcé la main de ma tante.

Le soir elle me dit qu'elle a aimé que c'était bon que ce soir son amant ne viendrait pas parceque mon oncle peut venir. Nous avons baisé cette nuit aussi. Mon oncle son mari est venu la nuit suivante. Je m'apprtais à dormais comme d'habitude dans le salon quand elle est venu me dire qu'elle passera me voir dès que mon oncle sera endormi. Vers 01h00 elle est entrée.

- Mais qu'est ce que tu veux, mon oncle est là, fais attention

- Ne t'inquiètes pas il dort et il est chao. Je veux que tu sois vicieux. Je t'aime Viens me prendre après lui. Ses mots et la peur de nous faire prendre m'excitent. Je viens sur elle et commence mes vas et viens. Elle était en chaleur. Vas y chéri mélanges toi avec ton oncle. C'est toi mon mari continues, C'est toi mon amant et mon ami qui me donne la liberté et le plaisir. Vas y engrosses moi, fais moi un enfant, je veux que tu sois le père de ton cousin. Ses mots me mirent hors de mois et j'éjacule au fonds d'elle.

Amicalement

Par MAX - Publié dans : homelovefamily
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 15:22




 Maryse Leblanca écrit :

Bonjour Maxime,

> > >Mon frère m'a parlé de ton blog. Je l'ai visité et en accord avec
lui,
>je
> > >t'écris notre histoire. Bien sûr, j'ai changé les noms pour que tu
> >puisses
> > >la publier. Nous nous sentons moins anormal à la pensée que
l'inceste
>est
> > >beaucoup plus présent que la société le désire et le prétend. Je
> >comprends
> > >les gens de ne pas laisser beaucoup de commentaires. Soit ils ont
honte
> >de
> > >leur désir secret et ont peur de se dévoiler(préjugé quand tu nous
> >tiens),
> > >soit ils l'ont vécu ou le vivent présentement et ont peur que la
vérité
> > >sorte.
> > >
> > >Continue, ne lâche pas, le bien que tu fais à ceux qui vivent
l'inceste
> >de
> > >façon consentante est énorme.
> > >
> > >Maryse

.......................................................................................................................

 Merci beaucoup maryse. ton experience est édifiante de
sensualité.
> > > avoir un enfant avec son frère est un stimulant inégalable
>n'est-ce-pas!
> > >tu m'as foudroyé avec cette phrase. je te publie avec plaisir.
> > >
> > > dis moi tes impressions et tes critiques sur le blog. dis moi ce
qui
>t'a
> > >excité et si tu as jouis de l'une de ces experiences. je
t'embrasse.
> > > maxime
........................................................................................................................

> >Maryse Leblanc
>a écrit :  Le but de ton blog est très noble. Certaines des histoires me semblent un
> >peu farfelu. Il n'y a pas beaucoup de gens qui racontent leur
histoire ou
> >leur fantasme incestueux, je trouve cela malheureux. Contrairement
aux
> >filles qui fantasment sur leur père, je suis étonnée de voir que les

>hommes
> >fantasmes autant sur leur mère jusqu'à les considérer comme des
putains.
> >"Ma
> >soeur mon seul amour" m'a profondément touché, on y sent un réel
amour et
> >une tendresse immense dans ce récit et eux contrairement à moi qui
n'a
>que
> >fantasmé ont eu des enfants. Je dois dire que j'y ai réfléchi
longuement
> >avant d'écarter cette possibilité, mais j'aurais été incapable de le

>cacher
> >à mon mari qui est super cool et un super amant.
> >Parce que je suis incestueuse, tout ce qui touche l'inceste
m'excite,
>mais
> >je te rappelle que l'inceste non consentant détruit beaucoup de vie
alors
> >que l'inceste consentant te fait découvrir un côté d'un être que tu
aimes
> >déjà, que tu connais bien ses défauts, ses caprices et ses qualités,

>c'est
> >une partie de son jardin secret. Moi, ça m'a rapproché beaucoup de
mon
> >frère, pas seulement dans le sexe, mais dans les confidences et je
pense
> >que
> >c'est la même chose pour mon frère. J'ignore si cela peut avoir
l'effet
> >contraire. Mon dernier fantasme,je dois me masturber à chaque fois
que
>mon
> >mari rencontre mon frère, une sandwich avec mon frère et mon mari,
mais
>je
> >ne crois pas que cela va arriver. Je dois aussi te dire que l'on vit
dans
> >la
> >peur que ce soit découvert, et c'est loin d'être agréable.
> >
> >Maryse
........................................................................................................................................

>
> >From: durant maxime
> >To: Maryse Leblanc
>
> >> >
> > Maryse, tu dis vivre dans la peur d'être découvert! Quel délice
> >celà doit vous procurer!!! Ce qui est bien dans ces relation c'est
qu'on
>ne
> >penserais à rien même si l'on venait à vous découvrir l'un et
l'autre
>dans
> >le même lit car frère et soeur. Pourtant dieu seul sait ce que vous
> >forniquez au nez et à la berbe de tout le monde. j'aime votre amour
> >fréternel et sexuel en même temps. j'aime ce monde d'interdit dans
lequel
> >vous êtes plongés. j'ai lu et relu ton histoire, ciel qu'elle est
> >envoutante. je voulais te poser une question... apres la découverte
que
> >votre mère à faite est ce que l'amour avec son fils ne lui ai pas
froler
> >l'ésprit et est-ceque tu en a parler avec ton frère sur la
possibilité
> >qu'il y ai une relation d'avec votre mère? à moins que tu ne
ressentes
>celà
> >comme une tromperie de la part de ton frère. Est-ce que tu serais
jalouse
> >de ton frère s'il venait à coucher avec une autre que sa femme? Est-

>ceque
> >tu le concidère comme étant à toi et que le fait qu'il
> > soit avec sa femme ne représente qu'un prés pret de ta part à cette
> >dernière?
> >
> > J'éspère que voir ton histoire sur le blog t'a plu... je
t'encourage à
> >alimenter ce dernier en ecrivant sur le sujet. si tu as des pensée
des
> >choses à faire passer tu me les envoi et on les propose en texte.
> >
> > je t'ai ajouté à mon adresse msn mon adresse est
 ..........................................................................................................................................................

>
>Maryse Leblanc <petitsbijoux@hotmail.com> a écrit :
>   Ma mère n'a pas semblé avoir changé d'attitude avec moi ni avec mon

>frère.
>Si mon frère la baise ben ta mieux pour elle car il est un amant
>merveilleux. Je ne suis pas jalouse du tout. J'ai même envisagé que
mon
>mari
>puisse lui aussi être incestueux avec sa soeur. Ca me déplairait pas
du
>tout
>d'ailleurs. Tant qu'à mon frère, j'ai une copine qui semble ne jamais
avoir
>été comblé dans sa sexualité. Il m'arrive parfois d'être tentée de lui
>présenter mon frère pour la dévergonder. En passant, je n'ai pas juste
mon
>frère comme amant. Il m'arrive de me faire des beaux mecs que je
rencontre.
>Maryse
..........................................................................................................................................................


     Bonjour Maryse, tu es formidable dans tes interventions. je souri
à
>chaque fois. j'aime assez tra personalité. tu sais que sur ce blog
tues
>chez toi. alors n'hésites jamais à contribuer avec une remarque, un
ecrit
>etc... domage tu ne viens jamais sur msn. il faut dire que moi nonplus
je
>ne suis pas sur le net tt le temps.
>
>   n'oublie pas de me tenir au courant de tes démarche pour faire
faire
>l'amour à ton mari et sa soeur.
>
>   je me suis mis à fantasmer sur une rencontre à 4 ton frère ton,
mari et
>sa soeur... hummmmmmm.... bisous.
>
........................................................................................................................................................

 

Salut Maxime, je reconnais que je ne déteste pas mettre les gens au
défi. Je
pense que c'est de famille, je me rappelle mon père et ses frères qui
mettaient tout le monde au défi. Ceci étant dit, je déteste les
remarques
des éternels insatisfaits et je n,hésite pas à leur dire. Sur ton site,
les
remarques de ceux qui en voudraient plus sont probablement des p'tits
branleurs solitaires incapables de faire les démarches nécessaires pour

assouvir leurs désirs.

Je pense que mon mari a des fantasmes sur sa soeur, elle est très bien
roulée, cependant sa soeur est très prude. Dès qu'on parle de sexe, on
la
sent très mal à l'aise et tente par tous les moyens de changer la
conversation à autre chose. J'ai déjà pensé de la saouler pour l'aider
à se
dégager un peu, mais elle ne boit presque pas, je pense qu'elle trempe
ses
lèvres seulement. De plus, même juste entre femmes, elle est très
difficile
d'accès. C'est pour te dire que si cela arrive un jour, je crois que
nous
aurons vieilli de plusieurs années. Par contre, j'essaie de faire
parler mon
mari sur sa soeur et je sens que je tiens une future histoire de
fantasme
incestueux pour ton site, reste à voir.

Pour te dire franchement je déteste MSN et je le tiens toujours fermé.

En passant, je rencontre mon frère mercredi chez ma mère et il n'y a
pas de
conjoint. Bye Maxime

Maryse


Par MAX - Publié dans : homelovefamily
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 15:00

Bonjour,
je voudrais vous faire part de mon témoignage de l'histoire d'amour
vécue
avec ma soeur.
Je profite également de ce message pour vous dire qu'il est facile de
détecter les faux témoignages sur ce site car lorsqu'on a pas connu
l'inceste frère soeu, il est des mots que l'on ne peut écrire ou dire.
Des
témoignages vulgaires de "baise familiale" sont initéréssants et
mensongers.
L'inceste frère-soeur n'est ni facile à admettre et encore moins facile
à
vivre. Il faut également préciser que dans la très grande majorité des
cas,
ces actes débouchent sur des conséquences graves pour l'équilibre des
personnes et surtout des filles qui ont beaucoup de mal à se
reconstruire.
Inutile donc de trop fantasmer sur ces situations souvent vécues dans
la
honte et le secret de famille.
Mon espérience est tout autre car nous avons ma soeur et moi des
relations


sexuelles sans aucun tabou depuis quelques années. Nous avons chacun 45
et
46 ans et avons pu nous construire d'abord une vie personnelle avant
d'en
arriver là. Nous en avons beaucoup discuté ensemble et avons même
consulté
un psychologue. Notre amour est très fort et n'est pas basé sur le sexe uniquement.

Ma soeur et moi nous sommes retrouvés depuis quelques années, ayant été
 séparés très jeunes. ce n'est qu'après une trentaine d'années que nous
avons
entamé, chacun en même temps de notre côte des recherches afin de nous
revoir.
Petit à petit un désir est monté en nous, inexplicable et tortueux. De
petits gestes anodins, des regards, des caresses, des allusions,...Un
soir
que son mari était absent, elle prétexta une coupure de courant pour
appeler
chez moi et demander à mon épouse de bien vouloir m'envoyer avec une
lampe
de poche. Ayant fini mon travail assez tard, je suis arrivé chez elle
vers
les 10heures et comme la sonnette était en panne, je suis passé par
derrière
pour pouvoir trouver le compteur.
Ma surprise fut grande lorsqu'une fois la porte refermée, j'entendais
des
légers râles provenir de la salle de bains éclairée d'une bougie. La
porte
était entr'ouverte et je ne pus m'empêcher de passer discrètement la
tête.
Un spectacle merveilleux me remplit d'excitation ; ma soeur se
masturbait
avec la poire de la douche. Je descendis les marches silencieusement et

trouvai finalement le compteur. La lumière jaillit à nouveau et ma
soeur me
cria : Ah c'est toi, tu m'as fait peur !
Après un quart d'heure, pendant que je nous préparais un thé, elle
rentra
dans la pièce en pyjama laissant deviner les pointes gonflées de ses
seins.
Je rougis mais j'osais lui parler.
"Tu sais, lui dis-je, depuis quelques temps, je sens t'aimer
différemment,
non pas d'un amour fraternel mais d'un sentiment très bizarre
d'attirance
physique et de bien-être avec toi. Je voulais te dire qu'avant de
m'emporter
dans quelque chose d'insurmontable et peut-être dommageable, il
vaudrait
mieux pour nous deux que nous ne nous fréquentions plus, d'autant que
nos
conjoints pourraient se rendre compte d'un comportement difficile à
expliquer. J'ignore si tu ressens les mêmes choses et pardonnes-moi si
je
t'ai choquée, mais je me devais de t'en faire part". Elle se retourna
et je
la vis porter sa mai au coeur, comme si je l'avais blessée. Sa main se
porta
sur l'interrupteur et éteignit la lumière.
"Moi aussi, me répondit-elle, depuis que je t'ai retrouvé, ma vie a
complètement basculé et je dois faire des efforts pour masquer à mon
mari
mon attirance pour toi. Je n'ose l'accepter car c'est un tabou mais
l'envie
est plus forte. Avec toi, je me sens en totale harmonie. Nous nous
parlons
et nous confions de mille choses sans crainte ou tabou et je n'ai
jamais
même parlé ainsi à mon mari.
En toi, je me retrouve ;  Nous nous découvrons les mêmes passions et
les
mêmes envies. Nous avons été séparés à notre enfance et pourtant nous
ressentons exactement les mêmes choses, alors
que même notre éducation a été complètement différente : En tous
points, nos
esprits concordent et nous en arrivons même à penser à l'autre en même
temps. Lorsque je me dit que j'aimerais que tu me téléphones, la
sonnerie
retentit. Tout cela est la preuve que nous sommes nés pour nous
retrouver et
recomposer le puzzle".
"Pour moi, je sais que nous nous désirons secrètement, même si cela est

inacceptable. Je te regarde depuis le premier jour de la tête au pied
et je
suis tombée amoureuse de toi, même si je respecte ta vie conjugale".
Je dois dire que je me sentais en parfaite harmonie en ce moment et je
m'avancai vers elle, hésitant et le coeur battant la chamade. Je
l'attirai
vers moi et la serrai dans mes bras, mes mains s'aventurant dans son
dos. Je
soulevai sa robe de pyjama et lui mis délicatement mes mains sur ses
fesses
et lui déposai un baiser tendre et passionné. Je crois que nous
pleurions
discrètement.
Malgré ma timidité, je lui avouai l'avoir surprise dans sa douche et
que ce
spectacle m'avait beaucoup ému. Pour moi, c'était troublant et beau et
je
lui confiai que je savais qu'elle l'avait fait volontairement pour
m'attirer
et qu'elle j'étais sûr qu'elle avait senti ma présence. Après tout,
n'étions
nous pas faits avec la même logique de raisonnement ?
Elle m'avoua effectivement qu'il y avait du vrai dans tout cela.
Toujours
dans mes bras, elle me dit que nous allions sans doute faire une grosse

bêtise si nous nous laissions encore aller et qu'il valait mieux se
reprendre pour éviter l'irréparable. Mais ses gestes trahissaient son
envie
et ses mains vinrent aussi se coller sur mon torse qu'elle admira car
elle
me dit être attirée par les torses poilus, contrairement à son mari qui
est
imberbe.
Une idée traversa mon esprit. J'osai lui dire que puisque nous étions
partagés entre l'envie et l'interdit, pourquoi ne pas continuer l'un
devant
l'autre à nous donner du plaisir et voir nos corps onduler au plaisir
du
regard de l'autre. Encore une fois, elle me confia que son mari n'avait

jamais voulu le faire et que cette idée l'excitait beaucoup. De mon
côté, ma
femme aussi refusait ce plaisir.
Voici que nos fantasmes étaient communs....
Nous en arrivâmes à parler de nos vies sexuelles et à chaque fois que
nous
évoquions un désir secret que nous n'avions jamais mis en pratique avec
nos
conjoints respectifs, celui-çi était commun ! Inimaginable de penser
que
nous nous complétions et nous ressemblions à ce point.
Dès cet instant, nous parlions de tout comme de la pluie et du beau
temps. A
un moment, je lui fis part de mon fantasme secret de l'éjaculation
faciale
mais étais attristé car mon épouse refuse la fellation. A mon grand
étonnement, elle me dit qu'elle ne l'avait jamais fait avec son mari
car en
général, c'était plutôt une fois tous les mois pendant 10 minutes et
qu'elle
en était très frustrée sans toutefois le désir de le tromper.
A cet instant, nous nous regardions avec le même sourire et je lui dis
: "Si
tu le souhaites, nous apprendrons ensemble ! " et elle me répondit
"nous
verrons bien où tout cela nous mène" mais en attendant je te propose de
nous
asseoir dans le canapé et de nous montrer nus l'un à l'autre.
Gênés mais excités, nos habits furent ôtés rapidement et nous nous
sommes
retrouvés nus à nous regarder et nous effleurer. Ses mains hésitaient
et je
me rendis compte qu'elle n'était pas une grande experte, ayant
apparemment
été délaissée par son mari.
Je lui dis : "Tu sais, il m'est arrivé souvent de me masturber en
pensant à
toi mais évidemment en restant dans le domaine de l'imaginaire et
n'admettant pas que je pouvais être attiré par ma soeur : maintenant je
suis
face à toi et je peux croire que c'est arrivé si vite comme si cela
devait
arriver et que c'était écrit. Mon sexe est gonflé comme il ne l'a
jamais été
et je t'offre ce spectacle en hommage à ton amour". Mes mains se
portèrent à
mon sexe et je commençais un va et vient tout en fermant les yeux. Elle
me
disait tu es beau ainsi et je t'aime. Jamais, je n'avais autant éjaculé
et
de longs jets épais vinrent atterrir sur le tapis.
Une fois la jouissance passée, nous étions comme deux enfants qui ont
fait
une grosse bêtise et nous nous rhabillâmes silencieusement et je
m'éclipsai
comme un courant d'air, honteux et penaud.
La suite une prochaine fois car il y a bien entendu une suite...en
attendant
voici une petite photo

Philippe

Bonjour,
je voudrais vous faire part de mon témoignage de l'histoire d'amour
vécue
avec ma soeur.
Je profite également de ce message pour vous dire qu'il est facile de
détecter les faux témoignages sur ce site car lorsqu'on a pas connu
l'inceste frère soeu, il est des mots que l'on ne peut écrire ou dire.
Des
témoignages vulgaires de "baise familiale" sont initéréssants et
mensongers.
L'inceste frère-soeur n'est ni facile à admettre et encore moins facile
à
vivre. Il faut également préciser que dans la très grande majorité des
cas,
ces actes débouchent sur des conséquences graves pour l'équilibre des
personnes et surtout des filles qui ont beaucoup de mal à se
reconstruire.
Inutile donc de trop fantasmer sur ces situations souvent vécues dans
la
honte et le secret de famille.
Mon espérience est tout autre car nous avons ma soeur et moi des
relations


sexuelles sans aucun tabou depuis quelques années. Nous avons chacun 45
et
46 ans et avons pu nous construire d'abord une vie personnelle avant
d'en
arriver là. Nous en avons beaucoup discuté ensemble et avons même
consulté
un psychologue. Notre amour est très fort et n'est pas basé sur le sexe uniquement.

Ma soeur et moi nous sommes retrouvés depuis quelques années, ayant été
 séparés très jeunes. ce n'est qu'après une trentaine d'années que nous
avons
entamé, chacun en même temps de notre côte des recherches afin de nous
revoir.
Petit à petit un désir est monté en nous, inexplicable et tortueux. De
petits gestes anodins, des regards, des caresses, des allusions,...Un
soir
que son mari était absent, elle prétexta une coupure de courant pour
appeler
chez moi et demander à mon épouse de bien vouloir m'envoyer avec une
lampe
de poche. Ayant fini mon travail assez tard, je suis arrivé chez elle
vers
les 10heures et comme la sonnette était en panne, je suis passé par
derrière
pour pouvoir trouver le compteur.
Ma surprise fut grande lorsqu'une fois la porte refermée, j'entendais
des
légers râles provenir de la salle de bains éclairée d'une bougie. La
porte
était entr'ouverte et je ne pus m'empêcher de passer discrètement la
tête.
Un spectacle merveilleux me remplit d'excitation ; ma soeur se
masturbait
avec la poire de la douche. Je descendis les marches silencieusement et

trouvai finalement le compteur. La lumière jaillit à nouveau et ma
soeur me
cria : Ah c'est toi, tu m'as fait peur !
Après un quart d'heure, pendant que je nous préparais un thé, elle
rentra
dans la pièce en pyjama laissant deviner les pointes gonflées de ses
seins.
Je rougis mais j'osais lui parler.
"Tu sais, lui dis-je, depuis quelques temps, je sens t'aimer
différemment,
non pas d'un amour fraternel mais d'un sentiment très bizarre
d'attirance
physique et de bien-être avec toi. Je voulais te dire qu'avant de
m'emporter
dans quelque chose d'insurmontable et peut-être dommageable, il
vaudrait
mieux pour nous deux que nous ne nous fréquentions plus, d'autant que
nos
conjoints pourraient se rendre compte d'un comportement difficile à
expliquer. J'ignore si tu ressens les mêmes choses et pardonnes-moi si
je
t'ai choquée, mais je me devais de t'en faire part". Elle se retourna
et je
la vis porter sa mai au coeur, comme si je l'avais blessée. Sa main se
porta
sur l'interrupteur et éteignit la lumière.
"Moi aussi, me répondit-elle, depuis que je t'ai retrouvé, ma vie a
complètement basculé et je dois faire des efforts pour masquer à mon
mari
mon attirance pour toi. Je n'ose l'accepter car c'est un tabou mais
l'envie
est plus forte. Avec toi, je me sens en totale harmonie. Nous nous
parlons
et nous confions de mille choses sans crainte ou tabou et je n'ai
jamais
même parlé ainsi à mon mari.
En toi, je me retrouve ;  Nous nous découvrons les mêmes passions et
les
mêmes envies. Nous avons été séparés à notre enfance et pourtant nous
ressentons exactement les mêmes choses, alors
que même notre éducation a été complètement différente : En tous
points, nos
esprits concordent et nous en arrivons même à penser à l'autre en même
temps. Lorsque je me dit que j'aimerais que tu me téléphones, la
sonnerie
retentit. Tout cela est la preuve que nous sommes nés pour nous
retrouver et
recomposer le puzzle".
"Pour moi, je sais que nous nous désirons secrètement, même si cela est

inacceptable. Je te regarde depuis le premier jour de la tête au pied
et je
suis tombée amoureuse de toi, même si je respecte ta vie conjugale".
Je dois dire que je me sentais en parfaite harmonie en ce moment et je
m'avancai vers elle, hésitant et le coeur battant la chamade. Je
l'attirai
vers moi et la serrai dans mes bras, mes mains s'aventurant dans son
dos. Je
soulevai sa robe de pyjama et lui mis délicatement mes mains sur ses
fesses
et lui déposai un baiser tendre et passionné. Je crois que nous
pleurions
discrètement.
Malgré ma timidité, je lui avouai l'avoir surprise dans sa douche et
que ce
spectacle m'avait beaucoup ému. Pour moi, c'était troublant et beau et
je
lui confiai que je savais qu'elle l'avait fait volontairement pour
m'attirer
et qu'elle j'étais sûr qu'elle avait senti ma présence. Après tout,
n'étions
nous pas faits avec la même logique de raisonnement ?
Elle m'avoua effectivement qu'il y avait du vrai dans tout cela.
Toujours
dans mes bras, elle me dit que nous allions sans doute faire une grosse

bêtise si nous nous laissions encore aller et qu'il valait mieux se
reprendre pour éviter l'irréparable. Mais ses gestes trahissaient son
envie
et ses mains vinrent aussi se coller sur mon torse qu'elle admira car
elle
me dit être attirée par les torses poilus, contrairement à son mari qui
est
imberbe.
Une idée traversa mon esprit. J'osai lui dire que puisque nous étions
partagés entre l'envie et l'interdit, pourquoi ne pas continuer l'un
devant
l'autre à nous donner du plaisir et voir nos corps onduler au plaisir
du
regard de l'autre. Encore une fois, elle me confia que son mari n'avait

jamais voulu le faire et que cette idée l'excitait beaucoup. De mon
côté, ma
femme aussi refusait ce plaisir.
Voici que nos fantasmes étaient communs....
Nous en arrivâmes à parler de nos vies sexuelles et à chaque fois que
nous
évoquions un désir secret que nous n'avions jamais mis en pratique avec
nos
conjoints respectifs, celui-çi était commun ! Inimaginable de penser
que
nous nous complétions et nous ressemblions à ce point.
Dès cet instant, nous parlions de tout comme de la pluie et du beau
temps. A
un moment, je lui fis part de mon fantasme secret de l'éjaculation
faciale
mais étais attristé car mon épouse refuse la fellation. A mon grand
étonnement, elle me dit qu'elle ne l'avait jamais fait avec son mari
car en
général, c'était plutôt une fois tous les mois pendant 10 minutes et
qu'elle
en était très frustrée sans toutefois le désir de le tromper.
A cet instant, nous nous regardions avec le même sourire et je lui dis
: "Si
tu le souhaites, nous apprendrons ensemble ! " et elle me répondit
"nous
verrons bien où tout cela nous mène" mais en attendant je te propose de
nous
asseoir dans le canapé et de nous montrer nus l'un à l'autre.
Gênés mais excités, nos habits furent ôtés rapidement et nous nous
sommes
retrouvés nus à nous regarder et nous effleurer. Ses mains hésitaient
et je
me rendis compte qu'elle n'était pas une grande experte, ayant
apparemment
été délaissée par son mari.
Je lui dis : "Tu sais, il m'est arrivé souvent de me masturber en
pensant à
toi mais évidemment en restant dans le domaine de l'imaginaire et
n'admettant pas que je pouvais être attiré par ma soeur : maintenant je
suis
face à toi et je peux croire que c'est arrivé si vite comme si cela
devait
arriver et que c'était écrit. Mon sexe est gonflé comme il ne l'a
jamais été
et je t'offre ce spectacle en hommage à ton amour". Mes mains se
portèrent à
mon sexe et je commençais un va et vient tout en fermant les yeux. Elle
me
disait tu es beau ainsi et je t'aime. Jamais, je n'avais autant éjaculé
et
de longs jets épais vinrent atterrir sur le tapis.
Une fois la jouissance passée, nous étions comme deux enfants qui ont
fait
une grosse bêtise et nous nous rhabillâmes silencieusement et je
m'éclipsai
comme un courant d'air, honteux et penaud.
La suite une prochaine fois car il y a bien entendu une suite...en
attendant
voici une petite photo

Philippe

Par MAX - Publié dans : homelovefamily
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus